Drole de rêve (même si un rêve est toujours drole)
J'ai fait un rêve étrange. Enfin un rêve, une histoire que je me racontait dans un état de demi-sommeil.
Tout
se passe sur une cote maritime, sauf que dans ces lieux proche de la
cote metideranéene, les lac, fleuve et rivière, cohabitent avec des
lacs de magma, des fleuves de magma, et tout ça sans aucun problème. La vie s'y écoule tranquillement, ici on cultive des raisins, là on
fabrique des pot en terre cuite, que c'est beau, on dirait un rêve. Certes
personne n'est vêtu de toge mais c'est limite. Tout se passe donc dans
un monde utopique, le pays des schtroumpfs quoi.
Mais hélas un
élément perturbateur, tel Gargamel, vient foutre le bordel dans cette
région idyllique : On annonce un Tsunami de magma... LE truc auquel on
survit pas quoi. D'ailleurs on voit a l'horizon une lueur rougeoyante,
alors que nous sommes en plein milieu de la journée. Bon, je vous passe
la scène de panique générale, tout le monde court, des vieux se font
écraser, un bébé pleure, perdu dans la rue, les cliché quoi. Tout
d'un coup on sait pas pourquoi, on trouve un train-bateau qui peut
flotter sur le magma. Tout le monde place ses affaires dans le train qui est heureusement assez vaste (en fait je croit qu'il grandit en fonction de ce que l'on veut y placer).
Alors là changement de vue. Jusqu'à maintenant on était en caméra
subjective, tandis que maintenant on se retrouve avec une vue à la Âge of empire (vue du ciel), avec
des mains geante qui descende d'on-ne-sait-où pour prendre des maison et les deposer sur le train. Ceci fait, on décide de faire route vers
l'intérieur des terre, parce que bon on ne tiens pas a se prendre la
vague de magma en pleine face. Le train-bateau demmare, et le voyage commence, avec pour seul paysage a la fenetre une énorme
vague incandescente commençant à obstruer le ciel. Là on se croirait dans un
reportage sur la guerre au Kosovo, dans un train de refugié, avec les
mère portant leurs enfant contre leur sein, tous entassé a même le sol
(évidement, les maisons prennent toute la place). Puis, à cet instant precis d'à ce moment là, la machiniste
déboule dans le "wagon" : On perd de la vitesse, il lui faut quelqu'un pour
entretenir le feu (oui parce que le train-bateau est un train-bateau a
vapeur). Je suis designé d'office. Donc on passe par la salle de
commande où un vieux capitaine au long court, pipe au bec et perroquet
sur l'épaule, est au gouvernail et pilote le train-bateau. Puis on
arrive devant une porte avec des fils qui pendouille (des prises jack si je ne m'abuse). La machiniste en
débranche 2-3, en ébranche avec d'autres, puis la porte s'ouvre. Je m'etonne qu'on puisse ouvrir une porte comme ça. La machiniste me regarde l'air de dire "mais d'où tu sort toi ?". Nous nous
retrouvons dans une fournaise. Elle me donne une pelle en fer et me montre
le fond d'un couloir ou l'on voit un brasier flamboyant cracher milles intincelles et flammes telle
la gueule de l'enfer ou Satan attendrai patiemment son heure (ça en
jette hein ?). C'est là que je doit amener le charbon. Je demande,
inquiet, si il fait encore plus chaud là bas qu'ici, vu qu'ici on transpire deja à grosse goute (je m'imaginais reduit a un tas de cendres). Elle me répond que bien
sur, à quoi je pense ! en rigolant. Mais elle me rassure, la pelle, ne
chauffe pas, évitant à mes mains nue la brulure au 14eme degrée.
Et pis là je me réveille. Même pas en sursaut. Même pas en sueur. Juste je me réveille, en émergeant quoi. Si un psychanalyste passe dans le coin, je serait curieux de connaître la signification profonde de ce rêve.